Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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L’euro, la monnaie inique

17/09/2010 17:11

L’euro, la monnaie inique


Quel beau révélateur ! Alors qu’une immense majorité des élites économiques, politiques et médiatiques persistent à penser que l’euro est une bonne chose, qui nous aurait même protégés pendant la crise, le peuple Français pense de plus en plus le contraire.
La fracture monétaire
C’est en effet ce que révèle un nouveau sondage qui montre que 60% des Français sont mécontents de l’euro, soit le score le plus élevé de la zone (contre 53% des Allemands, les britanniques étant plus de 80% à penser que l’euro n’apporterait aucun bénéfice). A peine 33% de la population pense que l’euro a apporté des bénéfices économiques à notre pays. Bref, la rupture avec la monnaie unique semble consommée. Rappelons que près de 40% des Français souhaitent le retour du franc.
Nul doute que les élites concluront qu’elles ont saisi les bénéfices de cette monnaie unique que le bas peuple est incapable de comprendre. Cela serait sans doute un bon éditorial pour Alain Duhamel, Libération ou le Monde, qui soutiennent la monnaie unique avec la foi des religieux les plus extrêmes. Pourtant de plus en plus d’économistes réputés (Alain Cotta, Christian Saint Etienne, Jacques Sapir, Gérard Lafay) prennent position contre la monnaie unique, sans compter ceux qui critiquent la politique de la BCE…
Populisme et réalité
D’ailleurs, une analyse de fond de la monnaie unique permet de conclure à sa dangerosité et je n’ai jamais croisé le fer avec une argumentation un tant soit peu solide défendant la monnaie unique. Ses partisans se contentent en général de dire qu’il serait trop compliqué de revenir en arrière (alors que cela a été fait dans les ex Yougoslavie et Tchécoslovaquie), que cela reviendrait à tuer l’Europe ou que revenir au franc est passéiste. Mais d’une solide argumentation économique, il n’est jamais question.
Et le décalage d’opinion entre les élites et le peuple tient sans doute au fait que si la monnaie unique a des avantages pour les premières (facilité pour les voyages intra-européens, protection des épargnants par la politique anti-inflationniste), ses inconvénients ne sont que pour le second (destruction d’emplois dans l’industrie du fait de sa surévaluation, compression du pouvoir d’achat dans une course sans fin à la compétitivité). Le peuple a compris que l’euro ne sert pas l’intérêt général.
Depuis leur bulle, certaines élites ne parviennent pas à comprendre les travers de cette construction monétaire inique. Mais les sondages indiquent une grande fracture sociale dans l’appréciation de cet euro. Et cette fracture révèle tout simplement une fracture dans les intérêts…
Laurent Pinsolle





Ce que le dérapage de Viviane Reding dit de l’Europe

16/09/2010 13:24

Ce que le dérapage de Viviane Reding dit de l’Europe


Cela restera une polémique extrêmement intéressante à plus d’un titre. La commissaire européenne aux droits de l’homme, Viviane Reding, a dénoncé les expulsions de Roms par la France en des termes scandaleux. Un nouvel exemple des ambiguïtés de cette Europe.
Le dérapage de la Commission
La polémique fait le tour du monde et devient de plus en plus forte. Toutes les institutions européennes s’en mêlent puisqu’après le vote du parlement européen, c’est au tour de la présidence de l’Union de faire des reproches à la France. Mais la goutte d’eau qui a fait déborder le vase est clairement le parallèle totalement abusif fait par la commissaire européenne évoquant des pratiques remontant à la seconde guerre mondiale, comme si les avions de retour des Roms étaient les trains de la mort !
Heureusement, Viviane Reding a fini par exprimer des regrets pour cette comparaison scandaleuse. Mais il est extrêmement surprenant que la France n’ait pas davantage dénoncé les propos de la commissaire. Bien sûr, Nicolas Sarkozy aurait évoqué devant les députés de la majorité le fait que le Luxembourg pourrait accueillir davantage de Roms, mais il n’y a pas eu de communiqué officiel pour remettre en place cette critique choquante de sa politique.
C’est un superbe papier signé par Nicolas Dupont-Aignan qui a sonné la charge dans un style plus gaullien que jamais (vous pouvez aussi lire les papiers de Malakine et d’Antidote). Comment ne pas imaginer que le Général n’aurait pas remis en place le machin européen pour cette interférence avec notre politique et cette comparaison ridicule ? Bien sûr, la circulaire du ministère de l’intérieur est très choquante mais la critique des autorités européennes est allée bien au-delà.
Un problème de construction européenne
Le spectacle donné par les échanges entre les institutions de l’Europe et la France à l’occasion de l’expulsion des Roms est totalement ubuesque. Il montre clairement les failles de cette construction européenne où la commission se prend pour un gouvernement, le parlement européen pour une assemblée et la présidence de l’Union pour une autorité dirigeante vis-à-vis de pays qui seraient plus ou moins ramenés à des régions de cette grande Europe.
La construction européenne a accouché d’une architecture hybride, pas totalement fédérale, puisque les Etats-nations gardent parfois le dernier mot, mais supranationale dans un nombre grandissant de domaines. Il en résulte des conflits incessants, improductifs et paralysants pour la prise de décision. Pire, on peut argumenter que cet attelage baroque mène l’Europe dans une mauvaise direction, comme le montrent les mauvais résultats économiques depuis l’adoption de l’euro.
Bref, il devient urgent de trancher dans le vif et d’adopter un modèle clair. Parce que nous avons la démonstration que les institutions supranationales ne défendent que les intérêts d’une petite minorité, il convient de réorienter radicalement l’Europe vers un modèle confédéral, basé sur des coopérations à la carte. Il revient à la France de mettre les pieds dans le plat, quitte à provoquer une crise. Dommage que Nicolas Sarkozy ait laissé passé l’occasion de 2007…
Bien sûr, le gouvernement n’est pas totalement innocent dans cette affaire, entre la circulaire et sa stigmatisation coutumière, mais la réaction outrancière des institutions européennes révèle un problème fondamental de construction des institutions européennes qu’il faudra traiter.
Laurent Pinsolle





Constitution de la République française

16/09/2010 10:22

Constitution de la République française


Constitution de la République française (mini format) 

Texte intégral présenté par Ferdinand Mélin-Soucramanien
8e édition
De Ferdinand Melin - Soucramanien


Editeur : Dalloz
Collection
: A savoir

ISBN : 978-2-247-09013-6
314 pages 
Parution : 07/2010
Thème 
Droit 

Présentation par l'éditeur
La Constitution du 4 octobre 1958 fonde le régime de la Ve République. Comme elle renvoie à la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, au préambule de la Constitution de 1946 ainsi qu'à la Charte de l'environnement de 2004, elle prend la forme d'un bloc de constitutionnalité comprenant 153 articles.
Ce recueil tente de faire oeuvre citoyenne en donnant à voir ce qu'est aujourd'hui la Constitution de la République française alors qu'elle vient d'être profondément réformée par la loi constitutionnelle du 23 juillet 2008. Cette révision, sans conteste la plus importante depuis 1958, est de si grande ampleur, qûà vrai dire on peut se demander si l'on n'a pas affaire à une nouvelle Constitution
L'une des innovations majeures de celle-ci réside dans la création d'une question prioritaire de constitutionnalité à l'article 61-1 de la Constitution. Cette procédure entrée en vigueur le 1
er mars 2011 fait pénétrer la Constitution dans les prétoires et tend ainsi à faire du droit constitutionnel un véritable droit vivant. 
 

L'auteur

Ferdinand Mélin-Soucramanien est professeur de droit public à l'Université Montesquieu – Bordeaux IV. Il enseigne le droit constitutionnel et le droit des libertés fondamentales. Il est également directeur de Constitutions - Revue du droit constitutionnel appliqué, revue trimestrielle




Lettre ouverte à Madame Reding, Commissaire européen

16/09/2010 08:31

Lettre ouverte à Madame Reding, Commissaire européen


Madame Reding,
Cette fois-ci, la Commission européenne dont vous êtes l’exécutante a dépassé toutes les bornes. En effet, en laissant l’un de ses commissaires comparer la France à l’Allemagne nazie, elle vient de franchir un pas supplémentaire dans l’indignité.
Car qui êtes-vous Madame Reding pour vous permettre de donner des leçons à la France ? D’où tirez-vous votre légitimité ? Par qui avez-vous été élue ?
Pas par le peuple français en tout cas !
Alors oui, bien sûr, la circulaire d’Hortefeux est absolument intolérable puisqu’elle stigmatise une population là où seule l’application de la loi républicaine devrait être en cause. Cependant rassurez-vous, mes compatriotes sont tout à fait capables par eux-mêmes de régler cette affaire. Même si bien entendu, les cris d’orfraie de la gauche rendent grandement service au Président : ils donnent l’impression qu’il agit alors qu’il ne fait que payer des Roms comme de malheureux figurants qui reviendront quelques semaines plus tard sur notre sol.
Mais qui a créé les conditions de la libre circulation des personnes comme des capitaux ? Qui a créé les conditions de cette anarchie et donc les risques d’amalgame et de stigmatisation ? Qui a favorisé l’immigration intra-communautaire pour le plus grand bénéfice d’un certain patronat qui peut ainsi user et abuser d’une main-d’œuvre bon marché ?
De la même façon que votre collègue Madame le commissaire Kroes déclarait vouloir encourager les délocalisations, votre Union Européenne a pour objectif avoué le nivellement par le bas vers le moins disant social. Car en ouvrant toutes les frontières, vous mettez forcément en danger le modèle social des pays les plus avancés. Vous mettez nécessairement en péril les acquis et les droits des plus pauvres, puisque vous les placez en concurrence directe avec encore plus pauvres qu’eux.
En voulant accélérer l’élargissement, vous n’avez pas voulu entendre tous ceux qui vous avaient alerté sur les dangers des migrations de population. Les Roms de Roumanie et de Bulgarie en sont aujourd’hui les premières victimes.
Je suis aujourd’hui le seul au Parlement français à prôner ouvertement le rétablissement des frontières nationales. Le seul.
Or, une frontière, ce n’est pas le repli sur soi. Qui oserait traiter son voisin de palier de raciste au prétexte qu’il ferme sa porte à clé en partant travailler ?
En fait, une frontière c’est comme la peau : ça protège mais ça laisse passer tout ce dont l’organisme a besoin. C’est une protection mais également un lien vers l’extérieur !
En voulant par dogmatisme supprimer toutes les frontières sans d’ailleurs les remplacer par une frontière européenne, vous avez écorché vif nos nations.
Aujourd’hui, alors que le peuple souffre, l’alternative est simple : l’entente, la concorde et la coopération de peuples libres de disposer d’eux-mêmes ou bien le mépris des peuples, la destruction des nations et l’impuissance publique des Etats.
Alors oui, Madame Reding, ça suffit ! La France n’a pas d’ordre à recevoir de Bruxelles, et encore moins d’excuses à formuler.
Car si le gouvernement Sarkozy et le Parlement français ont ratifié le traité de Lisbonne, le peuple français, lui, l’a clairement rejeté par référendum !
Madame Reding, vous êtes illégitime et comme élu d’une Nation qui a rejeté par référendum le traité constitutionnel, je ne vous reconnais pas et je ne vous reconnaîtrai jamais.
Rassurez-vous, je ne manquerai pas d’expliquer à Messieurs Hortefeux et Besson en quoi leur circulaire n’est pas digne de la République, mais de grâce, vous qui êtes Luxembourgeoise, concentrez-vous sur votre Grand-Duché et n’essayez pas d’imposer par la force votre mondialisme à des pays qui n’ont aucune leçon à recevoir venant d’un ancien député d’un paradis fiscal.
Madame Reding, vous ne le savez sûrement pas, mais il est écrit à l’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen que la résistance à l’oppression est un droit naturel et imprescriptible.
Souffrez donc que je respecte la Constitution de mon pays et que je résiste à une Commission totalitaire qui tance les ministres de mon pays comme des petits garçons désobéissants. Et si je regrette que les petits garçons en question préfèrent vous répondre qu’ils ont respecté vos règlements et vos lois, permettez-moi en tant qu’élu de vous répondre que vos directives et vos instructions n’ont aucune légitimité.
Je suis tout aussi européen que vous, et vous ne me culpabiliserez pas. En construisant l’Europe ainsi, vous dénaturez totalement l’idée européenne de réconciliation entre les peuples et de progrès social pour tous.
C’est pourquoi, Madame, jamais ne flottera le drapeau de cette mauvaise Europe là sur le fronton de ma Mairie, et je préfère largement y mettre celui de toutes les autres nations libres du monde.
Prenez d’abord le risque de soumettre vos décisions au suffrage des peuples européens, et après - seulement après - on en reparlera.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN





Bibliothèque idéale sur De Gaulle et le gaullisme (1ère partie)

15/09/2010 12:12

Bibliothèque idéale sur De Gaulle et le gaullisme (1ère partie)


 Les écrits de compagnons  

 

Alexandre Sanguinetti 

La France et l'arme atomique, Julliard, 1964 

Une nouvelle résistance, Plon, 1976

L'armée, pour quoi faire ?, Seghers, 1977 

Sujet ou citoyen ? 

J'ai mal à ma peau de gaulliste, Grasset, 1978 

Histoire du soldat, de la violence et des pouvoirs, Ramsay, 1979

Lettre ouverte à mes compatriotes corses, Albin Michel, 1980

Avec André Chandernagor : « Réformer la démocratie ? », Face-à-face, Balland 1977.  

 

Jacques Soustelle 

T.1 : De Londres à Alger. Souvenirs et documents sur la France libre, 1940-1942, Jacques Soustelle, Robert Laffont, 1947, ASIN B0000DLUAH, 470 pp. 

T.2 : D’Alger à Paris, souvenirs et documents sur la France libre, 1942-1944, Jacques Soustelle, Robert Laffont, 1950, 457 pp. 

 

Jean Dutourd 

Conversation avec le Général (Flammarion), 1990  

 

Jean Charbonnel 

 L'aventure de la fidélité, éd. du Seuil, 1973 

 De Gaulle au Présent, éd. Flammarion, 1990 

 A la Gauche du Général, éd. Plon, 1998 

 Le gaullisme en questions, PUF, 2002  

 

Louis Terrenoire 

De Gaulle et l'Algérie (Fayard, 1964)

De Gaulle vivant (Plon, 1971) 

De Gaulle (1947-1954), Pourquoi L'Echec (Plon, 1981)  

 

Jacques Baumel 

Une certaine idée de la France , éditions Vaugirard, 1985 

La France et sa Défense, éditions des Forges, 1994 (avec Jean Paul Pigasse

Résister, Histoire secrète des années d'occupation, édition Albin Michel, 1999 

De Gaulle, l'exil intérieur, édition Albin Michel, 2001

La Liberté guidait nos pas, Plon, 2004

La Libération de la France , édition l'Archipel, 2004 (avec François Delpha

Un tragique malentendu. De Gaulle et l'Algérie, Plon, 2006 (avec François Delpha  

 

Alain Peyrefitte 

 C'était de Gaulle, mémoires, 02/2002, Gallimard, ISBN : 2070765067 

 

Jacques Foccart 

La Fin du gaullisme. 1973-1974, Fayard et Jeune Afrique, Paris, 2001, ISBN 2-213-607966 

Foccart parle. 2, [1969-1996] : entretiens avec Philippe Gaillard, Fayard et Jeune Afrique, Paris, 1997, 525 p.-[16] p. de planches (ISBN 2-213-59498-8)  

 

Jean Mauriac  

L'Après-de Gaulle. Notes confidentielles, 1969-1989, Fayard, Paris, 2006, 540 p. (ISBN 2-213-62765-7

 

 

Michel Debré 

Demain la France  : Esquisse d'un ordre international, sous le pseudonyme de Jacquier-Bruère, Plon, Paris, 1945 

Refaire la France , en collaboration avec Emmanuel Monick, sous le pseudonyme de Jacquier-Bruère, Plon, Paris, 1945 

La Mort de l'État républicain, Gallimard, Paris, 1947 

Projet de pacte pour une union d'États européens,1950 

Ces princes qui nous gouvernent, Plon, Paris, 1957 

Une certaine idée de la France , entretien avec Alain Duhamel, Fayard, Paris, 1972 

Une politique pour la Réunion , Plon, Paris, 1974 

Le Pouvoir politique, avec Jean Louis Debré, Seghers, Paris, 1976 

Le Gaullisme, avec Jean-Louis Debré, Plon (Tribune libre), Paris, 1977, (ISBN 2259003303) 

Français, choisissons l'espoir, Albin Michel, Paris, 1979, (ISBN 2-226-00777-6) 

Lettre ouverte aux Français sur la reconquête de la France, Albain Michel, Paris, 1980, ISBN 2-226-01075-0 

Peut-on lutter contre le chômage ?, Fayard, Paris, 1982, (ISBN 2-213-01190-7) 

Trois républiques pour une France. Mémoires, avec la collaboration d'Odile Rudelle, Albin Michel, Paris, 1984 - 1994, 5 volumes 

Combattre, 1984, (ISBN 2226020667) 

Agir (1946–1958), 1988, (ISBN 2226033424) 

Gouverner (1958-1962), 1988, (ISBN 2226034579) 

Gouverner autrement (1962–1970), 1993, (ISBN 2226062076)

Combattre toujours (1969-1993), 1994, (ISBN 2226075364) 

Entretiens avec le général de Gaulle (1961–1969), Albin Michel, Paris, 1993, (ISBN 2226066608) 

Entretiens avec Georges Pompidou (1971–1974), Albin Michel, Paris, 1996, (ISBN 2226084878) 

 

Pierre Mesmer 

Les Écrits militaires de Charles de Gaulle : essai d'analyse thématique , Presses universitaires de France, 1985 (en collaboration avec le professeur Alain Larcan)

 

Marie France Garaud 

De l’Europe en général et de la France en particulier, Le pré aux Clercs, 1992

Maastricht, pourquoi non, Omnibus, 1992 

Oser dire non à la politique du mensonge, ouvrage collectif, Le Rocher, 2005 

La Fête des fous : Qui a tué la Ve République ?, Plon, 2006






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